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gérard sendrey

  • En lecture quelques extraits de "Sans envie de rien".

    Bonjour,

    Si vous ne jetez pas cette newsletter à la poubelle, je vous invite à écouter quelques-unes des 644 Sans envie de rien en cliquant sur le lien  https://www.youtube.com/watch?v=XcN1eKBo2Vg&t=41s qui vous amènera vers une vidéo sur ma chaine Youtube.

    Pour la petite histoire, « Sans envie de rien », a édité une première fois aux éditions de L’autre Côté du Mur en 1997, puis augmenté de plusieurs inédits aux éditions Editinter en 2003 et de nouveaux inédits en 2015 chez Cactus inébranlable éditions pour un total de 644 phrases commençant toute par J’aurais aimé être ou Je n’aurais pas voulu être, le tout accompagné de 108 illustrations originales de Gérard Sendrey. Ce recueil peut être commandé chez l’éditeur cactus.inebranlable@gmail.com ou en librairie. Si vous souhaitez l’acquérir avec une dédicace, contactez-moi par mail à jeanlouismauricemassot@gmail.com

     Numériser.jpegBonne écoute et merci de vos retours virtuels ou autres, positifs ou négatifs, les échanges étant toujours plus agréables que le silence.

  • Au Poétik Bazar

    marie tafforeau,ronan barrot,claude donnay,olivia hb,yves artufel,gérard sendrey,fabrice feuillolley,jacques morin,janne krembelCe vendredi 22 septembre, je serai dans l'après-midi au Poétik Bazar aux Halles de Schaerbeek.

    Si l'occasion se présente,  je dédicacerai sur leur stand les ouvrages "Abonné-e-s Absent-e-s" et "Entre deux nuages" parus au Chat Polaire et chez Bleu d'encre.

    Pour les amateurs, les étourdis, les retardataires, je prendrai aussi plaisir à dédicacer "Opuscules poétiques" et "Houppées", parus chez Gros Textes et au Petit Flou.

    A vendredi.

    Jean-Louis Massot

  • Hop ! Hop ! Une petite dernière à propos de "Opuscules poétiques"

    cover Opuscules poétiques-page-001.jpgJean-Louis Massot : Opuscules poétiques (1955-1998) - Gros Textes éd.

    Il s'agit de la reprise de 4 recueils publiés par Jean-Louis Massot entre 1995 et 1998. Successivement : « 25 Watts Opaque » chez VR/SO de Claude Seyve, « Beau Futur » aux éditions Clapas de Marcel Chinonis, « Petits désenchantements sucrés, salés » chez Traumfabrik Éditions de Francis Krembel, et « Collection privée » (Polder n° 98) avec illustrations de Gérard Sendrey, à qui est dédié le livre, et un Complément signé Pierre Autin-Grenier. (À noter qu'il reste deux seuls survivants du groupe : Massot et moi !). Le recueil ainsi recomposé relève d'une même unité due évidemment à l'écriture continue de l'auteur. On retrouve à la fois mélancolie et humour comme l'indique le troisième titre. La seconde partie est davantage versée sur l'Italie, avec une propension au conditionnel qui ouvre les possibles. Quelques proses d'une façon très éparse. Et des poèmes relativement courts qui peuvent courir d'une traite du haut au bas de la page sans respirer. Il y a souvent des bribes d'histoire d'amour qui demeure le thème principal avec des vers comme S'il y a de l'amour quelque part / la pluie s'ensoleille côté positif, ou à l'inverse : Fines épluchures d'une aventure d'amour qui n'en serait pas une. De toute façon, Jean-Louis Massot se méfie de trop de sentiments en file indienneOn trouve des références d'époque à Kieslowski, Buster Keaton ou la Strada, côté cinéma, Paolo Conte et John Coltrane, ou Georges-L. Godeau, François de Cornière, Raymond Carver et Brautigan.

    Il est drôle pour moi de relire la dernière partie avec vingt-cinq ans d'écart. À noter qu'un poème a été repris intégralement de la première partie (page 19 et 109) avec cependant un ajout, comme un codicille sentimental. La présentation de Pierre Autin-Grenier était très sagace et bien appuyée sur les textes de Jean-Louis : « C'est un poète à l'esprit un chouïa chevauché par les fées ».

    Qu'ajouter de plus juste ? À vrai dire, même s'il y a un côté un peu daté, parce que tout l'appareillage rappelle forcément ces années-là, le livre n'a pas vieilli, sans doute parce qu'on y perçoit à la fois légèreté et profondeur, grâce et malice, sourire et tristesse.

    Post-scriptum : 9 Euros. Fontfourane. 05380 - Chateauroux-les-Alpes.

  • Ce sera le 1er avril

    covers.jpegÀ mon tour de vous annoncer qu’après 25 ans de participation à La foire du livre de Bruxelles (Heysel, Rogier, Mont des Arts, Tour & Taxis) à la barre des Carnets du Dessert de Lune, ce sera ma première participation en tant qu’auteur pour une séance de dédicaces le samedi 1er avril sur le stand 243 des Éditeurs Singuliers. (it’s not à fish)

    De 15h00 à 16h00

    - Pour «Abonné.e.s Absent.e.s» avec les peintures de Ronan Barrot aux éditions Le Chat Polaire

    - Pour «Nuages de saison» qu’accompagnent les superbes montages photographiques d’Olivia HB, aux éditions Bleu d’encre

    Durant cette  séance, j’aurai aussi l’occasion de vous proposer deux récentes parutions «Opuscules poétiques» aux éditions Gros Textes, avec des créations de Gérard Sendrey et «Houppées» aux éditions Le Petit Flou (collection Un coup de pied à La Lune)

    Ainsi que deux titres que vous trouverez sur le stand des éditeurs singuliers «Sans envie de rien» et «L’A.À.F.L.A, L’Appareil À Fabriquer Les Aphorismes», illustrés par Gérard Sendrey et publiés il y a quelque temps aux Cactus Inébranlable Éditions

    D’un côté ou de l’autre de la table, avant, pendant ou après, rencontrons-nous et pourquoi pas également le 29 mars lors de l’inauguration https://flb.be. Entrée gratuite

  • C'est pas moi qui le dis.

    C'est pas moi qui le dis, mais si ça vous dit, on y parle de "Opuscules poétiques" sur le blog d'Eric Dejaeger. http://courttoujours.hautetfort.com/archive/2023/01/05/un-peu-de-pub-549-6418338.html

    OPUSCULES POÉTIQUES 1995-1998
    par Jean-Louis Massot
    Couverture de Gérard Sendrey

    Réédition en un volume de quatre plaquettes aujourd’hui introuvables (Moi, j’ai les quatre, na !) de l’ami Jean-Louis. Courts poèmes et proses intemporels qui n’ont pas pris une ride, le quotidien aigre-doux raconté en toute simplicité. Achetez ce recueil avant qu’il ne soit, comme les quatre autres, épuisé. Il vaut vraiment le détour ! Eric Dejaeger

    Un extrait ici http://courttoujours.hautetfort.com/media/01/01/109214167.jpg

    L'image est le 4e de couverture. Poème inédit.

    4e de couverture.JPG

  • Les covers et le livre

    IMG-4216.JPG

    https://grostextes.fr/publication/opuscules-poetiques-1995-1998/

    Opuscules poétiques. Extraits.pdf

  • En dédicace le samedi 3 décembre aux Fugueurs du livre à Liège

    Bonjour à toutes et tous,

    Il se dit que je serai présent le samedi 3 décembre à la 9e édition des Fugueurs du livre à Liège au Grand Curtius.

    Ce sera à partir de 14h00 sur le stand du Chat Polaire pour y dédicacer "Abonné.e.s Absent.e.s" et puis ici et là avec sous le bras "Aussi les gens" paru au Editions petit Va !, mais peut-être aussi "Opuscules poétiques" édité par Yves Artufel des éditions Gros Textes.

    J'aurai plaisir de vous y voir ou de vous revoir et de partager un moment avec vous.

    Alors à bientôt...

    Jean-Louis

    fugueurs-du-livre-2022.jpg

     

    cover Abonné.e.s Absent.e.s - copie.jpeg       cover Opuscules poétiques-page-001.jpg         Cover Aussi les gens.jpg

  • Notes de lectures pour un ancien et un nouveau recueil.

    Bonjour,

    En ce vendredi 12 août, je vous propose une note de lecture à propos d’un recueil « La soie de mots musique » paru en 2017 et une nouvelle note de lecture à propos du recueil « Aussi les gens » récemment paru.

    Si vous souhaitez acquérir l’un ou l’autre, merci de m’envoyer un mail à jeanlouismauricemassot@gmail.com

    Amicalement.

    Jean-Louis

     

    La soie des mots musique.jpgLa soie des mots musique. Jean-Louis-Massot/Gérard Sendrey. Editions Editinter, 2017. 84 pages, 14,8 x 21 cm. ISBN 9782353280109. 13 €

    Merci Jean-Louis de m’avoir adressé ce recueil édité depuis un longtemps déjà, en 2007, un recueil pour évoquer notre amitié avec Gérard Sendrey et l’impressionnant travail artistique qu’il a réalisé jusqu’à la fin de sa vie. Gérard est devenu un ami quand tu m’as proposé de lire et commenter son livre testamentaire, « Mon amour pour la vie en moi », dans lequel il évoque avec ferveur son inébranlable foi en la vie. J’ai beaucoup apprécié son propos, il a aimé le regard que j’ai porté sur son texte et, ainsi, nous sommes devenus amis. Chaque jour, jusqu’à ce que la maladie l’emporte, en ce début d’année, il m’a adressé un dessin, un vrai témoignage d’amitié et de complicité littéraire et artistique.

    Tu as eu la riche idée de lui confier l’illustration de chacun des poèmes que tu as écrit pour constituer ce recueil, pour ce faire, il a utilisé un procédé qui lui était cher, chacun des dessins fut réalisé à deux mains, chacune équipée d’un marqueur, en agissant simultanément de façon synchronisée ou non selon l’image souhaitée. Cette technique de dessin comporte une part d’aléas qui peut laisser planer une certaine incertitude quant au résultat obtenu, ce qui peut rendre l’illustration encore plus suggestive. Adepte de l’art brut et du dessin automatique, il ne pouvait en être autrement avec lui.

    Ces dessins se marient à merveille avec les textes que tu as rédigés pour évoquer la musique et les musiciens que tu as aimés, je ne les connais pas tous mais j’en ai noté certains noms et certaines œuvres qui m’ont particulièrement fait vibrer. A mon avis, il n’y a aucune fausse note dans ce recueil, pas plus dans les choix musicaux que dans les textes que tu as écrits avec beaucoup de sobriété et une grande finesse. Ces textes sont doux, parfois mélancoliques, souvent enthousiastes, dégageant empathie et irénisme.

    Tu as choisi la musique que j’aime, celle que j’ai découverte, un peu trop tard, après qu’elle a déferlé sur les ondes européennes. Tes choix sont sûrs, tu aimes, comme moi, le blues, le jazz, le rock n’ roll et tout cet univers musical mais, comme il y a de la bonne musique partout, tu as pioché dans d’autres bacs : chansons, musique classique, …, pour donner des envies de ressortir des vieux vinyles et écouter la musique de nos vingt ans. Eh oui :

    « Quelle idée stupide / que de vouloir écrire un / poème ou quelque chose / qui s’en rapprocherait / après / avoir passé la fin de la soirée / à écouter le Requiem de Gabriel Fauré » !

    Ce recueil comporte tout ce dont on peut rêver pour passer un moment de bonheur seul ou avec des amis :

    « Une journée à savourer un livre ; une soirée à laisser couler un vin qui chante ; un week-end partagé entre amis, sous un ciel qui … hésite à nous accompagner et qui s’amuse à nous laisser croire que nous pourrions être des étoiles filantes ».

    Dans ces quelques mots, tout semble être dit,  alors, vite, remettons, un disque sur la platine pendant que le vin chambre, avant que les amis arrivent pour lire ensemble quelques poèmes de Jean-Louis Massot comme celui qui suit et que j’aime tout particulièrement. J’entends Billie Holliday se lamenter loin loin là-bas au paradis du blues,

    « Sur la plage, / regardions l’océan. // Des heures // Ne cessait de gémir. // Un blues /// N’y pouvions rien. // Et rentrions. » © Denis Billamboz, août 2022, http://mesimpressionsdelecture.unblog.fr/2022/08/11/la-soie-des-mots-musique-jean-louis-massot-gerard-sendrey/

     IMG-3758.JPGJean-Louis Massot Aussi les gens collection PetitVa éditions du Centre de Créations pour l’Enfance de Tinqueux (2022, 5 euros, environ 40 pages)

    Jean-Louis Massot est un éternel empêcheur de tourner en rond. La poésie est remise à sa place dans ce carnet non paginé présenté en forme de cartons retenus par une spirale métallique rappelant un peu les tout premiers « Carnets du Dessert de Lune » dont il fut l’éditeur.

    A se demander où se trouve la poésie, l’auteur la croque partout : « L’autre jour, j’ai croisé un poète dans la rue. Il croquait à pleines dents dans une gaufre de Bruxelles toute chaude. J’ai désiré savoir si c’était là son dernier recueil de poésie. Il ne m’a pas proposé d’y goûter et a tout avalé devant moi ». On retrouve dans ces mots le sens d’observation inné de Jean-Louis. Quand il a posé son regard, l’instant révèle tout autre chose que le champ de vision habituel.

    Entre objets poétiques, chers aussi à Francis Ponge, par exemple, et ce qui semble à priori relater du fait divers, Jean-Louis Massot rend l’instant presque surréaliste sans y toucher avec peut-être aussi une certaine solitude car son instant n’est pas toujours celui du vis-à-vis observé quand « la poésie s’est sentie un peu seule » et qu’il ajoute « aussi les gens » incluant les êtres et leurs états d’âme dans le concept poétique de son écriture, l’humain immédiat et disponible étant sa première source d’inspiration.

    La conception graphique de Thomas Venet suggère, sans figurer, assez bien de choix possibles dans l’interprétation des formes donnant cette sorte de balancement qui convient aux scènes de vie exprimées avec un certain sens du scénario, l’écriture de Jean-Louis étant visuelle, quelque part journalière à représenter la vie courante de façon presque anonyme (pour la personne observée) comme peut également le faire par exemple Francesco Pittau  et avec cette sorte d’humour calibré assez dosé pour être convaincant.

    ©Patrick Devaux ; 2022 in https://www.areaw.be/jean-louis-massot-aussi-les-gens-collection-petitva-editions-du-centre-de-creations-pour-lenfance-de-tinqueux-2022-5-euros-environ-40-pages/?fbclid=IwAR2ovnHBbhXMObXn1mfosJe7UX8TBRpPluMAhTbig9WSNqVR7PW_1q7y2WY