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  • Faux dire, on en parle

    Bonjour à toutes et tous,

    Bien que je sache que la plupart des courriels ne sont pas lus et souvent tombent directement aux oubliettes de la poubelle ou de la boite spam, je ne résiste pas à partager avec vous, avec toi, ces notes de lectures que vous avez peut-être déjà vu passer ici ou là. Si elles vous donnent envie, ce petit recueil fabriqué artisanalement par les éditions Le Petit Flou de Fabrice Feuilloley, (le second après Houppées paru en janvier 2023, il en reste des exemplaires) peut être acquis par mon intermédiaire pour la somme de 10 € à laquelle il faut ajouter 2 € de frais d'envoi, en m'adressant un courriel à jeanlouismauricemassot@gmail.com ou directement chez l'éditeur à le-graal@orange.fr

    En attendant vos retours, que cette journée vous soit belle. Jean-Louis.

    (si ce courriel vous importune, un simple mot, Non merci et votre adresse mail sera effacée de mon carnet d'adresses)

    Faux dire, Le Petit Flou, 2024.

    Jamais le poète-éditeur n'a été aussi loin dans le dénuement. Comme dans l'aveu des blessures de l'enfance. On sentait parfois chez lui le joueur qui aime rimer ou le farceur d'attrapes. Rien de tel ici, qui énonce avec pudeur et force, ce qui l'a anéanti, ce qu'il en a retenu de blessant, de décapant.

    Le soir on voudrait que s’enlisent

    Les mauvais souvenirs d’enfance

    Que la nostalgie ne soit plus

    Une tendre blessure tronquée

    Il est des nuits blanches

    Si sèches avant le jour

    La petite suite de poèmes évoque "cicatrice", "noyade", les "fissures", les "ombres mâles". "Ta plaie est à jamais là". Une découverte dans une bibliographie de loin plus légère sinon fantaisiste. PhilippeLeuckx

    Très touchée par les déchirures de ce petit recueil de poèmes "abrupts", mélange papier douleurs, mâché, remâchées, enfance noyée et "jadis d'ombre", restent à écrire au présent "la douleur le pourquoi comme duo", le papier se recycle, les (res)sentiments aussi ? Faux dire pour maux dire. Merci de ce très bel envoi, Jean-Louis. Christine Spadaccini.

    Pour le fragile enfoui. Pour la parole reprise. Le timbre à l'éléphant, accessoirement. Le clin d'œil à la lune. Pour le fleuve et l'émotion retenus. Pour l'enfance, l'innocence, les mots en relief qui apaisent la souffrance. Pour tout ça, faut lire « Faux dire. » Jean Marc Flahaut.

    Bonjour Jean-Louis, j’ai bien reçu le livre, très joli et le propos, plein de pudeur touche par tout ce qui est dit… Ta poésie est pleine de finesse et de délicatesse… J’aime beaucoup. Marie-Laure Bigand.

    Cher Jean-Louis, J'ai reçu aujourd'hui Faux dire, dans son enveloppe historique, et j'en suis ravi. Je viens de lire le texte. On a d’emblée envie de le relire, avec le sentiment d’avoir dans les mains un objet précieux, qui va nous accompagner. Magnifique. Le plus fort et dense, dirais-je, lu de toi, et d'une très belle écriture. Le thème me touche beaucoup, je relirai lentement et plusieurs fois, c'est évident. L'objet-livre est aussi très beau, touchant, et j'aime la matière, les couleurs, l'impression à l'ancienne. Merci de tout cela. Je voulais te le dire juste après lecture. Bravo. Jean-Jacques Marimbert.

    Bonsoir Jean-Louis, merci beaucoup pour Faux dire. Un texte d'une force immense qui m'a bouleversée. Je l'ai lu à haute voix aujourd'hui. Merci. Bien amicalement. Virginie Symaniec. Le vers à soie.

     Vient juste de découvrir ton Faux dire (reçu il y a quelques jours mais j'attendais un peu de calme) beaucoup de choses et rien à dire à la fois, des mots qui pèsent une tonne sur un papier d'art menu, l'avant dernier surtout. Erick Jonquière.

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