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  • Gérard Sendrey 1928-2022

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    L'aventure des Carnets du Dessert de Lune avec Gérard Sendrey.

    En 2005 pour les 10 ans des éditions Gérard m'offrait, comme à son habitude, cette création pour illustrer la couverture du recueil collectif qui fêtait les dix ans des éditions

    Il a été un des trois premiers auteurs publié au printemps 1995 avec "Carnet d'aventures en chambre pour que le temps passé résiste à l'usure du temps" puis "Sourire d'outremer" en 1999, "Têtes de pipe au calame" en 2002, "Le poète avait des couilles" en 2005, "Carnet d'embrouillaminis et de melting pot" et "Carnet de melting pot et d'embrouillaminis" en 2013 et "Mon amour pour la vie en moi" en 2015. Et entre temps il a réalisé l'illustration de la couverture de "Chroniques des mendiants innocents" de Robert Piccamiglio en 1998.

    © Gérard Sendrey. Format 21 x 29 cm.

  • Un recueil + 1 Dessert (dernière)

    IMG-3547.JPGBonjour,

    Ce sera la dernière newsletter au sujet de cette parution. (ouf diront certains)

    Si vous l'avez commandé en décembre, après plus de 29 jours vous avez ou allez recevoir ce recueil et ce Dessert. Avec la poste il faut parfois faire preuve de patience et garder espoir dans la distribution du courrier...

    Mais si vous ne l'avez pas encore , il vous est loisible de me le commander par mail à jeanlouismauricemassot@gmail.com , vous le recevrez avec ou sans dédicace mais avec le Dessert d'Odile Bonneel. 5 peintures de Ronan Barrot accompagne ce recueil. Le 4e de couverture est signé Samantha Barendson.

    Il vous suffira de verser la somme de 12 € + 3 € de frais de port via paypal à dessertlune@gmail.com ou par virement européen sur  le compte IBAN BE09 0001 6884 3957 (à Jean-Louis Massot) ou m'adresser un chèque libellé à J. Massot à mon adresse postale 67 rue de Venise, 1050 Bruxelles. Belgique.

    Vous pouvez aussi le demander à votre libraire ou aux éditions Le Chat Polaire. et y découvrir d'autres livres.

    Merci d'avance pour votre retour et vos commentaires toujours les bienvenus.

    Jean-Louis.

    PS : la photo est de François Garnier.

  • Bricoles au Cactus inébranlable éditions

    Si vous avez des envies ou si vous voulez tout savoir sur un mode d'emploi, ces recueils sont pour vous. Même si vous les avez déjà, ils pourraient tenter une de vos connaissances.

    Il suffit de passer commande chez l'éditeur ou me contacter (si vous souhaitez une dédicace)

    Cover Sans envie de rien 23082015.jpgCouverture - AÀFLA 23-04-2020.jpg

     

     

  • Ce qu'on en dit de La soie des mots musique

    La soie des mots musique.jpgCe qu'on en a dit au moment de sa parution :

    La soie des mots musique. Jean-Louis Massot. Illustrations Gérard Sendrey. Editions Editinter. 13 €.

    Avec ce titre bien dans son style, Jean-Louis Massot donne le la de son recueil : plein d'instants pas forcément mémorables, plutôt anodins, quotidiens, amoureux, tristes, mélancoliques. enfin avec un sentiment légèrement têtu adjoint indissociablement avec un air de jazz, un concerto plus classique ou un blues râpeux. L'un et l'autre confinant dans une émotion totalement originale et inimitable. Gérard Sendrey, son vieil alter ego pictural, réplique à deux mains simultanées. Comme si la symétrie du dessin représentait l'osmose émotive du poème. De la douceur avant toute cause. © Jacmo in « Décharge N°134 » juin 2007

    C'est une note soyeuse de tendresse bluesy que Jean-Louis Massot pose sur "nos sentiments en sucre d'orge". Des sentiments solitaires, amoureux ou nostalgiques qui s'animent ou reviennent lorsque, après avoir "quitté les couvertures sous lesquelles nous avions éparpillé quelques sentiments", on s'installe à  l'écoute d'un disque bien choisi. C'est que, si les battements de cœur pulsent parfois comme certains solos, la vie prend aussi des airs de "corde de guitare / qui aurait cassé au plus mauvais moment". "Mais ne viens /surtout pas / me demander / de te jouer toute la partition" car, au fond de moi, règne "l'implacable sentiment / qu'aucun mot ne peut être capable / d'apporter la bonne réponse". Alors il faut s'en remettre à la musique et à "la naïveté de croire que tout ce qui viendrait après n'en serait que meilleur". Plus qu'en poète, c'est en philosophe amical que Massot évoque avec bonne humeur nos quotidiennes fêlures et illusions tout en rendant hommage aux musiciens qu'il aime : l'esprit de Brautigan plane sur ces pages et les mélomanes apprécieront en connaisseur. © Jack Keguenne in « Le Carnets et les Instants N°147 » mai-juin 2007

    C’est la publication de La soie des mots musique, par Jean-Louis Massot, illustrations de Gérard Sendrey, parue à Éditinter, qui me fait parler de Jean-Louis et de ces éditions. Voilà comme on dit un petit éditeur et ce n’est pas péjoratif, bien au contraire qui donne ses lettres de noblesse au métier. Il tient contre vents et marées depuis une dizaine d’années et publie une poésie de qualité qu’il choisit avec soin qu’il publie et qu’il diffuse, souvent lui-même, dans les librairies et les différentes manifestations en France et en Belgique, car ce français vit à Bruxelles, plus fort que Johnny. Je vous recommande La cuisine molle pour édenté, qui parue récemment est un délice pour l’œil, la papille et l’estomac. Il m’envoie deux livres Ellis Island’s Dreams de Ménaché illustré par Roudneff qui vous envoie dans l’estomac une drôle d’Amérique difficilement fréquentable et Coups de ciseaux de Perrine Le Querrec illustré par Stéphanie Buttay c’est l’exploration fouillée et duale d’une conscience qui recouvre tout un corps. Quant à la poésie de Jean-Louis, j’avoue en être un fan inconditionnel. © Jean-Pierre Lesieur in « Comme en poésie N°30 » juin 2007

    Coulure souple du poème sur le grenu des notes. Dissolution âpre. De toutes les musiques qu’affectionne J.-L. M., aucune n’évoque vraiment la morbidezza sirupeuse qui agit sur les blessures comme un emplâtre sur une jambe de bois. Entre deux soli incandescents de Jimi Hendrix ou de Hound Dog Taylor, sur une échappée de harpe dans une symphonie de Debussy, l’auditeur-lecteur entend souvent le battement d’un cœur dont le désarroi fait écho au tumulte de ses propres souffrances. Si la musique déchire ainsi les fibres du vocabulaire, c’est au fond pour mieux réparer, recoller, à l’aide de son propre appareil syntaxique, les morceaux brisés du désenchantement. Cicatrices apparentes garanties. Voici donc un recueil-bouclier contre la debolezza langagière actuelle, laquelle oscille de la micro-chirurgie esthétique spécialement destinée aux jeunes(?) filles en fleur(?) à l’adoucissant ultra-performant pour machine à laver les cerveaux. En prime, à la fin du volume, J.-L. M. nous offre un petit échantillon discographique du feu de Dieu ! Illustrations-épures bien dans le tempo de l’attentif Gérard Sendrey. © Jean-Louis Jacquier-Roux in « La Lettre de Sortie » juin 2007

     

     

  • A la recherche du

    IMG-3522.JPGPour qui recherche un éditeur sans se faire plumer, cet annuaire bien utile (même s'il n'est pas mis à jour et si la situation a bien évolué au fil du temps)

    Annuaire à l'usage des auteurs cherchant un éditeur

  • Un peu de pub pour les amis éditeurs

    Extrait de "Bouger les lignes" Florence Saint-Roch, Editions L'Ail des ours, collection Grand ours N°11. 2021

    0.jpgLa route nous rend méditatifs

    Tandis que les couleurs s'éteignent

    On songe à l'éclat des épices

    À la fragilité des jours

    On envie les oiseaux

    Leur empressement fébrile

    À rebours de nos pas

     

     

     

     

  • Extrait de "Armen"

    A lire ou à relire ce livre de Jean-Pierre Abraham "Armen"

    IMG-3507.JPGUn petit extrait :

    Il y a des mots qui se mettent à flamber dans la nuit. Au petit matin souvent je les retrouve en cendres. Quels mots faut-il inventer, qui flambent à chaque fois qu'on les regarde ?

    © Payot & Rivages, 2021, Le Seuil, 1967

  • Lecture

    Vous connaissez ce livre ?  Des textes courts, écrits au scalpel. Je recommande.

    Editions Vies Parallèles.

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  • 2022

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  • La poste belge et moi

    Je confirme qu'il ne fait pas bon envoyer des livres de Belgique en France durant les fêtes de fin d'année et même de Belgique à Belgique.

    Des envois faits le 20 décembre ne sont toujours pas parvenus à leur destinataire. C'est vrai que l'on est passé de 21 à 22, Ce doit être ce chiffre maudit 22 ! qui provoque ces retards. Comme me l'écrit un destinataire qui patiente : La banque postale depuis qu'elle est devenue la poste bancale, ce n'est plus comme avant.

    N'hésitez pas à réagir.

    Bonne soirée.

    J-L

    En attendant ce petit poème, écrit il y a peu dans le train qui filait vers le sud.

    Dans le tgv qui file vers
    Marseille, j’accompagne les dernières
    Heures frileuses de la nuit.
    Dans peu de kilomètres les
    Premiers rayons de soleil
    Piqueront les nuages du
    Petit matin qui se disputeront le ciel.
    Dans un pré un cheval noir plie
    L’échine et mâche pitance tandis
    Que nous, penchés sur les écrans
    De nos smarphones, nous cherchons
    À passer le temps en allant voir
    Ce qu’il se passe dans le monde
    Et si d’autres comme nous sont
    Là pour voir où nous en sommes.